TPD : votez pour la prochaine réglementation européenne sur les produits du vapotage
Les professionnels espagnols de la vape portent plainte contre les autorités sanitaires du pays
L’UPEV (Unión de Promotores y Empresarios del Vapeo) a décidé de réagir aux actions menées par le ministère de la santé espagnol. Cette association réunissant des entrepreneurs de la vape est exaspérée par l’attitude du gouvernement dirigé par Pedro Sánchez. En effet, depuis quelques mois, les autorités du pays mènent une campagne virulente dirigée contre le vapotage. Pour stopper cette manoeuvre de dénigrement, l’UPEV vient de déporter plainte.
Dès la fin du confinement lié au Covid-19, l’UPEV a réagi aux attaques répétées du Ministère de la Santé contre l’usage de la vape. Même les partis adverses n’émettent aucune critique vis-à-vis de l’attitude du pouvoir en place.
Une plainte vient d’être lancée auprès du défenseur du peuple, l’ombudsman espagnol. L’UPEV reproche principalement aux autorités sanitaires du pays de donner une image très négative aux produits de vape et pour mener à bien leur compagne de dénigrement, le ministère de la santé n’hésiterait pas à utiliser de faux arguments en défaveur de la vape.
Une opération de désinformation à 1,5 million d’euros
Dès l’automne 2019, l’UPEV a été excédé par la campagne menée par les autorités sanitaires. L’objectif de cette vaste opération était d’avertir la population sur les dangers de la vape et pour marquer les esprits, le message était clair, la vape était, aussi voire, plus nocive que le tabac, une affirmation qui n’a évidemment jamais été corrélée par des études scientifiques et pour cause.
En effet, aujourd’hui toutes les recherches montrent sans ambiguïté que le vapotage est plus sain que la cigarette. D’ailleurs peu de temps après le lancement de cette campagne très controversée, les responsables du ministère ont reconnu avoir pris de liberté avec les données démontrées scientifiquement.
En 2019, la campagne d’avertissement a coûté la somme exorbitante d’un million d’euros et aujourd’hui, le ministère de la santé a décidé d’accorder 500 000 euros supplémentaires pour relancer cette opération de communication. Cette décision a attisé la colère de l’UPEV qui a décidé de porter plainte.
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